KEDOUGOU, J’AI AIME !

Grâce à l’Organisation des Nations Unies contre la Drogue et le Crime (ONUDC) et en marge des travaux de l’atelier de Formation sur le Renforcement des mécanismes d’alerte précoce de manière inclusive et intersectorielle (genre, âge, handicap…) au niveau transfrontalier pour prévenir les risques sécuritaires et atténuer leurs conséquences- en particulier pour les plus vulnérables, cette session de deux jours à Kédougou a été une aubaine pour plusieurs d’entre nous !
Ainsi le mardi 25 février 2025 d’abord, guidés par les Lieutenants des Eaux et Forêts Souleymane Kinsoum Sané Adjoint au Chef Secteur de Salémata et Babacar Samba Faye Chef de division Gestion de la faune à l’Inspection Régionale des Eaux et Forêts (IREF) de Kédougou, nous (une dizaine de participants) avons été émerveillés par les splendeurs du « KEDOUGOU BIOPARC » !
La généreuse nature de cet endroit d’un autre monde, à côté du fleuve Gambie, des plantes partout, rappelant la verte Casamance, des paons, des autruches, des hyènes font penser à un parc zoologique, de bâtiments qui reçoivent des visiteurs, un terrain de football à gazon synthétique bien éclairé. Quelles merveilles !
La visite de Kédougou Bio Parc avec l’Administrateur Civol Kane, bien qu’elle ait eu lieu vers la fin de la journée, a séduit les participants de l’Atelier de Kédougou : l’air pur qui s’y dégage, dans cet environnement qui vous invite à l’admirer, la beauté de chaque petite parcelle dans cet univers de rêve pousse à rester ou tout au moins à revenir se ressourcer, se nourrir l’esprit et le corps, emmagasiner des vues qui resteront à jamais gravées en vous.
Puis ce mercredi 26, à partir de 10 heures, c’est la cascade de Dindéfélo qui a accueilli les heureux participants de cet atelier de l’ONUDC de Kédougou.
Au niveau du village, avant la longue marche sur des sentiers caillouteux qui nous ont conduits dans ce bel endroit (la Cascade) tant ignoré par de nombreux Sénégalais avec le guide Amadou Souaré, les explications fournies par Djiby Camara à l’accueil ont beaucoup montré l’intérêt de voyager, de visiter pour mieux connaître son pays.
La fraîcheur, dans ces lieux arborés, au fur et à mesure que l’on s’approche de la Cascade, envahit les visiteurs. La vue de cette eau qui quitte le ciel et coule sur les pentes vertigineuses de la montagne émerveille le monde.
Comme le disait mon voisin sur ce magnifique site : « c’est à voir mais pas à se le faire raconter ! »
N’est-ce pas cela lier l’utile à l’agréable ! Bravo et merci à l’ONUDC !







Idrissa Diarra Bakel Tambaactu1
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