ATELIER DE VALIDATION DU DIAGNOSTIC ORGANISATIONNEL DE L’UNION DES GIE DU KOLLENGAL DE BAKEL

ATELIER DE VALIDATION DU DIAGNOSTIC ORGANISATIONNEL DE L’UNION DES GIE DU KOLLENGAL DE BAKEL

La salle de conférence de la Mairie de Bakel  a abrité ce samedi 24 février  2024  un atelier de validation du diagnostic organisationnel  de l’Union des GIE du Kollengal de Bakel.

Près de vingt participants ont suivi avec beaucoup d’attention, d’abord les points  soulevés lors la première rencontre avec les GIE  et les solutions proposées par la SAED sur présentation de monsieur Mactar Seck Chef  de la  Division d’Appui à la Production et à l’Entreprenariat Rural (DAPER) à la Délégation de la SAED.

L’on a noté la présence de messieurs  Hamady Bocar Diallo dit Samba Kâ Président de l’Union des GIE du Kollengal  de Bakel, Pape Diaw, Chef de la  Zone SAED de Bakel à Ballou et de plusieurs membres  des différents GIE  du Kollengal.

Ce rappel a permis une mise à niveau de tous les participants  par un complément d’informations sur les  solutions apportées par la SAED.

Ainsi les forces,  les faiblesses et les opportunités des GIE parcourues en long et en large avec des interventions pertinentes, ont conduit à la validation des propositions.

A l’issue de cet atelier, le Président Samba Kâ s’est dit satisfait de cette validation. En grand connaisseur,  très engagé producteur et  Président bien écouté de l’Union des GIE du Kollengal, il  est revenu sur leurs forces et leurs faiblesses. Il a salué le Projet Chaîne de Valeurs,  la réfection par le PADER  de canaux d’irrigation et les digues par la SAED.

Pour monsieur Mactar Seck Chef de la DAPER à la Délégation de la SAED de Bakel, l’atelier a fait ressortir les difficultés organisationnelles des GIE liées à leur endettement, aux problèmes d’aménagement mais heureusement il a cité aussi certaines forces dont l’engagement du Président de l’Union des GIE monsieur Samba Kâ, les 200  hectares cultivables et malgré  l’équipement minimal, les efforts des producteurs, les sacrifices consentis  à ne pas abandonner.

En parlant des opportunités, à part le fleuve qui offre gracieusement ses eaux, il citera les terres de cultures qui sont là sans compter les partenaires techniques et financiers.Il a enfin remercié la Presse locale qui a toujours accompagné les services techniques et les riziculteurs de Bakel.

Idrissa Diarra Bakel/Tambaactu1

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